Valser dans la nuit [PV: Dimithrius Van-Haussen][HOT]

Le soleil était à la veille de se coucher, la noirceur commençait à prendre le dessus sur la lumière. Cependant, une jeune femme n'avait pas l'air de s'en rendre compte. Frustrée de sa journée, elle s'était enfoncée dans la forêt avec une radio sans fils. La musique coulait des hauts-parleurs et son corps bougeait au rythme de cette musique entrainante. Cela faisait bien près d'une heure qu'elle était là. Au début, la musique était endiablée, mais au fur et à mesure qu'elle se calmait, le rythme aussi devenait plus lent. La chanson arrêta et elle se pencha pour la changer, la respiration haletante. Maintenant qu'elle avait sorti toute sa frustration, elle voulait danser sur quelque chose de calme et relaxant. Une mélodie classique se fit alors entendre et Mai soupira. Eh oui, la rebelle qui donnait la vie dure aux professeurs écoutait de la musique classique! Elle fit un salut et commença quelque chose qui ressemblait à une valse, comme si elle dansait avec quelqu'un. La posture et les pas concordaient avec la valse, mais comme dans toutes les danses, Mai y ajoutait une touche personnelle.

Mai sursauta lorsqu'elle entendit un applaudissement léger derrière elle. Elle se retourna et regarda l’homme qui approchait vers elle, sans qu’elle ne puisse dire quoique se soit, muette de surprise sans doute. Elle ne put s’empêcher de rougir lorsqu’il la compara à une nymphe. Elle une nymphe? Elle aurait voulu rire, lui dire qu’il se trompait, lui dire quelque chose de blessant pour le faire partir… Mais rien ne sortait de ses lèvres entrouvertes. Elle ne réagit pas non plus lorsqu’il lui prit doucement la main pour la baiser. Sa seule réaction était de rougir d’avantage. Qui était cet homme, arrivé de nulle part, qui réussissait à lui faire perdre tout ses moyens? Elle ne faisait que le fixer, ne sachant que faire, ne sachant que dire. Il continuait de la complimenter et elle, elle continuait de ne rien dire, de l’observer en silence, figée, captive de se regard rubis.

Il l'invita à danser une nouvelle valse, avec lui cette fois et dans les règles bien sûr. Elle acquiesça, ne faisant pas confiance à sa voix. À l’intérieur, elle se traitait d’idiote, se demandant qu’est-ce qu’elle était entrain de faire. Évidemment, elle avait déjà fait bien pire un étranger, mais cette fois c’était différent. Il ne la traitait pas comme les autres, personne ne lui avait encore parlée de cette manière, ni agit de cette manière avec elle. Elle entendit une nouvelle valse partir et une sensation électrisante lui parcourut le corps. Mai connaissait bien cette sensation, elle la ressentait à chaque fois qu’une musique parvenait à son oreille. C’était comme une réaction naturelle de son corps à l’appelle de la musique. Sans réfléchir, elle fit le salut habituel et mit une main sur l’épaule de l’homme, l’autre étant déjà dans sa main.

Mai était captivée par cet inconnu, premier à pouvoir égaliser ses talents de danseuse et à réussir à mener la danse sans recevoir d’opposition de la jeune femme. En une seule danse, il avait réussi à acquérir son respect car pour elle la personne qui pouvait la suivre et l’égaliser en danse méritait son respect. Elle se surprit à sourire, mais ne fit rien pour enlever ce sourire de sur ses lèvres. Elle ferma un instant les yeux, se laissant guider complètement par cet homme qu’elle ne connaissait pas, mais en qui elle avait assez confiance pour le laisser mener la danse.

Elle ouvrit les yeux, saphir rencontrant rubis. Elle l’observa pendant qu’il la détaillait, le laissant faire à sa guise. Elle se sentait bien dans ses bras, ce qui était une première pour la jeune femme. Elle aussi le détailla. Ayant des jambes de mannequin, elle était souvent à la même hauteur, sinon plus grande, que beaucoup d’homme. Cependant, celui qui la tenait la dépassait de loin et son sourire s’élargit un peu, aimant les hommes de grande taille. Il n’était pas trop musclé, mais plutôt, il était bien dessiné, rien n’avait l’air d’être dans l’excès. Sa peau était très pâle, ressortant sur ses habits en majorité noirs. Ses yeux se plongèrent de nouveau dans les siens. Quelle couleur! Les yeux de Mai avaient souvent été admirés et complimentés, mais les siens étaient tellement plus beau, tellement plus mystérieux!
Lorsque la musique prit fin, Mai ne le remarqua pas tout de suite, elle ne remarqua pas non plus qu’ils s’étaient arrêtés. Encore une fois, ses yeux de sang l’avaient capturée, lui faisant perdre notion de tout le reste. Ce n’est que lorsqu’il s’écarta de deux pas que la réalité lui revint.

" Je ne me suis pas présenté. Je me nomme Dimithrius Van-Haussen... et vous sublime créature ? Me feriez vous l'honneur de me dévoilé votre noms ? J'imagine qu'il sera aussi beau que celle qui le porte... "

En d’autres lieux et en d’autres circonstances, elle aurait sûrement éclaté de rire, lui disant que ce qu’il disait était ridicule et combien grotesque! Elle n’éclata pas de rire, cependant elle détourna la tête, essayant de contenir cette teinte rosée et traitresse qui voulait monter à ses joues. Sa voix sortie alors en un murmure doux.

-Je m’appelle Hanatsuki Mai.

Elle senti une main sur sa joue, replacer une mèche de cheveux derrière son oreille. Elle eu une pensée pour ses cheveux qui devaient être misérables à voir. Trop frustrée pour penser à les attacher, elle avait dansé sans sa queue de cheval habituelle. En réalité, ses cheveux étaient quelque peu en bataille en effet, mais ça ne diminuait en rien son charme, au contraire, ça lui donnait une certaine beauté, une beauté sauvage, ce qui la représentait bien au finale. Il lui murmura de nouveaux compliments à l’oreille et elle tourna la tête pour le regarder, ne sachant si elle devait être flattée ou lui dire d’aller se faire voir. Il lui reprit la main pour y déposer un baiser et lui dire à quel point il avait apprécié danser avec elle. Elle le regarda installer son manteau sur le sol et, sans vraiment savoir pourquoi, elle se laissa guider par Dimithrius jusqu’au manteau. Une fois assise, elle l’écouta lui demander s’il pouvait l’appeler Mai et elle acquiesça. Lorsqu’il lui demanda ce qu’elle faisait en forêt, elle le regarda, sa personnalité rebelle refaisant surface quelque peu. Elle se disait que s’il voyait sa vrai personnalité, peut-être arrêterait-il de dire qu’elle est une déesse ou autre connerie qui en fait n’était pas elle du tout, peut-être pourrait-elle le ramener à la réalité, qui sait?

-Comme tu as pu le constater, je dansais. J’ai eu une journée de merde et je suis venue ici pour me défouler. Crois moi, si tu étais arrivé plus tôt tu ne me comparerais pas à une déesse ou tous les autres trucs que tu m’as dit… Je ne suis vraiment rien de tel…

Elle avait murmuré la dernière partie en baissant la tête. D’un côté, elle voulait qu’il parte, d’un autre, elle aurait aimer qu’il lui dise que c’était faux, qu’elle était vraiment ce qu’il avait dit… Il avait commencé à faire sortir le romantisme qu’elle avait enfoui au plus profond d’elle-même et cela lui faisait un peu peur, mais elle n’aurait jamais admis une telle chose!

Elle n’opposa aucune résistance lorsqu’il releva son visage pour le tourner dans sa direction. Lorsqu’elle plongea son regard dans le sien, elle y lu de la sincérité. À la fin de son petit discours, elle lui offrit un sourire, petit, mais un sourire. Il caressa son visage, puis ses cheveux pour revenir de nouveau à son visage. Tout le long elle le laissa faire, lorsqu’il lui dit de regarder dans ses yeux, elle obtempéra et y vit tout ce qu’il voulait qu’elle y voit. Sans penser, elle se pencha vers lui et effleura ses lèvres sur les siennes, respirant ce court instant son odeur. Elle réalisa ce qu’elle venait de faire et s’écarta d’un coup. Elle était maintenant écarlate et gênée, ses grands yeux bleus quelque peu affolés. Elle ne savait vraiment pas ce qu’il lui avait prit et le lui dit.

-Je suis vraiment désolée! Je ne sais pas ce qui m’a prise…

Elle se leva rapidement et alla jusqu’à sa radio, s’accroupissant pour pouvoir l’éteindre. Elle savait que se n’était qu’une excuse qu’elle se donnait pour s’éloigner de lui et se calmer un peu, du moins atténuer le rouge traître qui avait pris possession de ses joues. Elle soupira et ferma les yeux, mais qu'est-ce qu'elle avait aujourd'hui?

La jeune fille l’observa pendant qu’il posait son front sur le sien. Elle inspira et sans s’en rendre compte, garda sa respiration quand elle le vit s’approcher. Il l’embrassa tendrement et la serra contra lui. C’était bon et tellement tendre, le baiser se prolongea sans qu’elle ne fasse quoique se soit pour s’en échapper. C’est finalement lui qui s’écarta de quelque pas et Mai retint la moue de déception qui voulait se peindre sur son visage. Il lui demanda si elle voulait continuer ou s’arrêter là. Elle tourna la tête avec un "Tch" en levant les yeux au ciel. Puis, le regardant elle s’avança vers lui d’un pas décidé. Le prenant pas le collet elle l’embrassa avec une certaine fougue. Elle s’écarta, sans toutefois le lâcher et plongea ses yeux dans les siens.

-Je ne suis pas du genre à arrêter, alors si toi tu veux arrêter c’est maintenant ou jamais.

Elle regardait intensément, elle lui laissait une dernière chance de partir et de la laisser. Elle se demandait si la manière qu’elle l’avait embrassé lui avait fait peur, lui qui était si tendre, calme, doux… Tout le contraire d’elle… Elle, elle fonçait tête baissée, elle pouvait être violente et même sadique quelque fois, une lionne non domptée. Elle n'avait rien à faire avec quelqu'un comme lui... Enfin, c'est ce qu'elle voulait ce convaincre.

Dimithrius répondit à ce baiser fougueux que la jeune femme lui avait donné, et même s'il jouait plus dans le registre de la tendresse et de la sensualité, le plaisir qu'il prit à sentir les lèvres de cette belle danseuse contre les siennes fut bien présent. Lorsqu'elle sépara leur bouche et qu'elle lui avoua qu'elle n'était pas du genre à arrêter, mais qu'il était encore temps pour lui de dire stop, un sourire étira le visage du beau brun qui toujours avec une tendresse inouï reprit le visage de sa douce entre ses mains pour poser un tendre mais fiévreux baisé sur la bouche de sa compagne. Oui, maintenant il le savait, le brun n'avait aucunement l'envie de la quitter maintenant, pas sans avoir entendue jusqu'au dernier de ses gémissements s'évanouir dans l'air frai de la forêt... Soudainement prit par l'ardeur, il la ramena contre lui, pressant ses doigts contre le bas des reins de la belle.

" Pourquoi voudrais-je m'arrêter alors que je suis sur le point de passer l'un de moments les plus merveilleux de ma vie ? "

Avec lenteur, il ôta sa veste qu'il fit tombé au sol, dévoilant sa chemise d'un blanc immaculé. Bientôt sa cravate rejoint la veste sur le sol alors qu'il prit les mains de Mai pour les poser autour de son cou avec une certaine tendresse. Puis, il replaça ses mains autour de ses reins et pressa une première ses lèvres dans le cou de la jeune femme, avant de remonté petite à petit jusqu'à son oreille qu'il mordilla un bref instant avant de bifurquer vers sa joue sur la quelle il posa de rapide petit baisé. Puis arriva sa bouche, qu'il ne toucha pas tout de suite, frôlant du bout des lèvres, il plongea ses yeux dans les siens et tout en continuant d'exercé sur elle une certaine pression pour la garder contre lui, il lui murmura comme s'il s'agissait d'un secret

" Fermez les yeux et laissez vous emporter... suivez le mouvement... "

Lorsqu'elle eu fermé les yeux, et seulement à ce moment là, il replongea dans un baisé d'une rare tendresse, mais baiser était bien plus qu'un simple baisé, c'était en quelque sorte un serment d'allégeance qu'il lui faisait, une allégeance d'une nuit certes, mais elle n'en restait pas moins très claire... Lorsque ce pacte fut signé, Dimithrius glissa doucement sa langue contre celle de sa partenaire du soir, faisant tourbillonner les deux membres buccales jusqu'à ce qu'il sépare leur bouche pour venir lui murmurer à nouveau

" Dois je rester tel que je suis ou préférez vous que j'adopte un autre... Comportement ? Demandez, et je ferais... "

Il lui servit un sourire charmeur avant de lui caresser le visage.

Elle sourit dans le baiser qu’il lui donna après qu’elle lui ait donné une dernière chance d’arrêter, ayant sa réponse par ce geste.

" Pourquoi voudrais-je m'arrêter alors que je suis sur le point de passer l'un de moments les plus merveilleux de ma vie ? "

Elle le regarda ôter sa veste ainsi que sa cravate avant de prendre les mains de Mai et les mettre autour de son cou. Ses mains étaient revenu au niveau de sa taille, mais son esprit fût prit ailleurs lorsqu’elle sentit ses lèvres contre son cou. Elle pencha la tête de côté pour lui donner un meilleur accès. Il remonta jusqu’à son oreille qu’il mordilla légèrement. Un court baiser sur la joue et ses lèvres rencontrèrent de nouveau le sienne. Au début ce n’était qu’un effleurement, elle le regarda dans les yeux, le sentant la presser un peu plus contre lui. Il lui dit de fermer les yeux, de se laisser aller. Elle fit comme elle avait été demandé, fermant ses paupières, elle sentit alors ses lèvres contre les siennes. C’était un baiser doux, tendre, mais combien significatif. Elle répondit à ce baiser pour signifier qu’elle acceptait ce pacte silencieux. Elle sentit sa langue entrer doucement dans sa bouche pour rencontrer la sienne et le baiser s’intensifia jusqu’à ce qu’il écarte son visage pour lui murmurer: " Dois je rester tel que je suis ou préférez vous que j'adopte un autre... Comportement ? Demandez, et je ferais... "

"Je déteste lorsqu’on demande à quelqu’un de changer qui il est, reste toi-même, suis ton instinct et n’hésite pas. Je n’aime pas non plus les limites alors n’en ais pas. C’est tout ce que je te demande, de te laisser aller."

Sur ce, elle l’embrassa de nouveau et ses mains quittèrent son cou pour descendre sur son torse Elle tira sur sa chemise pour l’enlever de dans son pantalon et commença à la déboutonner. Elle n’était pas reconnue pour sa patience et avait hâte de sentir son torse à même sa peau. Une fois sa chemise ouverte, elle ne prit pas la peine de la lui enlever. Elle glissa ses mains à l’intérieur et commença à l’explorer, peau contre peau, sans barrière textile. Ce n’était pas une montagne de muscles et comme elle l’avait deviné, il en avait juste assez pour bien dessiner son corps. Elle sourit, appréciant ce qu’elle découvrait.

[Désolé pour le retard! >.<]

Mai vit la chemise tomber au sol et elle le laissa lui enlever son chandail. Elle se retrouvait maintenant en soutien-gorge, mais cela ne la dérangeait pas le moins du monde. Elle sentit ses grandes mains entrain de parcourir ses hanches, ses côtes, presser leur corps un contre l’autre, son torse se collant délicieusement contre sa poitrine. De son côté, ses mains, tellement plus petites que les siennes continuait de parcourir son torse et son dos. Il lui prit le visage et l’embrassa avant de descendre ses doigts sur ses hanches pour les caresser avec douceur. Il lui demanda s’il pouvait la tutoyer et elle acquiesça avec un sourire.

Il l’allongea dans l’herbe et avec plaisir elle le vit se hisser au dessus d’elle. Il l’embrassa dans le cou et de nouveau elle pencha la tête pour lui donner meilleur accès. Elle sentit ses doigts effleurer son soutien-gorge et elle se mordit la lèvre inférieure. Il se pressa de nouveau contre elle et lui dit qu’elle pouvait lui demander ce qu’elle voulait et lui essaierait de la satisfaire de son mieux. Ce qu’elle voulait, c’était lui, plus ça allait et plus elle avait envie de lui, qu’il la touche, qu’il l’embrasse, qu’il la prenne. La main de Dimithrius toucha ses cuisses, mais elle ne pu dire ou faire quoique ce soit car il l’embrassa avec passion. Les mains de la danseuse se glissèrent entre leur deux corps et se dirigèrent vers sa poitrine, elle était contente d’avoir mit un soutien-gorge qui s’attachait, ou pour le cas présent, se détachait à l’avant. Elle le détacha et sa poitrine fut complètement exposée à l’homme, contente d’être libérée sa prison de tissus et de dentelles. Elle remit ses mains dans son dos, le caressant. Elle espérait que son geste serait clair quant à ce qu’elle attendait de lui, car le désir qu’il la touche ne faisait qu’augmenter, toujours qu’augmenter. Ses seins maintenant nus se pressèrent contre son torse, peau contre peau et elle ne put s’empêcher de gémir doucement contre sa bouche.

Il l’avait replongé dans un baiser enflammer quand elle sentit une main ganté sur son sein. Elle soupira de plaisir et les lèvres qui étaient sur les siennes se déplacèrent dans son cou. Elle ne remarqua pas qu’il avait ôté ses gants, seulement lorsqu’elle sentit ses doigts dénudé revenir la masser, mais déjà son esprit était attiré vers les dents qui lui mordillait l’oreille. Pour une raison qu’elle ignorait, elle ressentait du plaisir lorsqu’il la mordait, même ce petit mordillement l’excitait. Ses mamelons trahirent ce sentiment, se durcissant, et elle su qu’il l’avait remarqué car elle sentait son sourire contre sa peau. Ses doigts commencèrent d’ailleurs à jouer avec le bout durcit de ses seins. Il quitta son oreille pour plonger ses yeux dans les siens. Ce qu’il lui dit la fit rougir, mais déjà il descendait vers ses seins. Elle plongea ses mains dans ses cheveux pendant qu’il s’amusait avec sa poitrine. Au début, ce n’était que de petits gémissements qui s’échappaient de sa bouche. Cependant ils augmentèrent un peu lorsqu’il se mit à la mordiller. Elle n’eut pas le temps de ressentir de déception lorsqu’il lâcha ses seins car sa langue faisait déjà un chemin humide jusqu’à son nombril. Elle était quelque peu haletante et le laissa enlever ses pantalons, les mains toujours dans ses cheveux. Elle sentit son regard sur elle et leva la tête légèrement pour le regarder.

" J'espère que je serais à la hauteur ma douce... N'hésite pas à réclamer si tu veux quelques choses... "

Il se mit alors à caresser légèrement son intimité, sans jamais mettre plus de pression. Elle poussa un soupire de frustration parmi ses soupires de plaisir et finalement il lui ôta sa culotte. Elle eu une petit inspiration rapide dû à la surprise. Elle avait pensé sentir des doigts contre son sexe maintenant humide, mais au lieu de cela elle avait sentit sa langue. Au début il la lichait timidement, mais il prit apparemment de l’assurance jusqu’à ce que sa langue découvre une petite boule de nerf. Plus cette assurance grandissait, plus les soupires de Mai devenaient des gémissements. Elle poussa un petit cri lorsqu’il se mit à sucer son clitoris, jouant avec de sa langue. L’une de ses mains quitta les cheveux bruns pour se plaquer contre sa bouche, essayant d’étouffer le plus possible ses gémissements qui étaient encore plus fort. Pendant ce temps, les mains de l’homme se promenèrent contre son ventre, ses cuisses, qu’il caressa, pour enfin revenir à ses seins, les massant. Elle ne pouvait empêcher ses hanches de monter et de redescendre, comme si elles essayaient d’en avoir plus. Sans qu’elle ne s’en rende compte, la main qui était resté dans la chevelure de Dimithrius agrippa ses cheveux, sans les prendre assez fort pour lui faire mal. Elle n’avait presque plus de contrôle sur son corps qui se laissait aller au plaisir de la chair et qui brûlait de désir pour l’homme qui lui procurait de tel sensation.

À chaque instant qui passait, Dimithrius s'imprégnait un peu plus du goût de la jeune femme. Certes ce contacte était purement charnel, mais cette sensation lui convenait parfaitement pour le moment. Il savait qu'arriver à un moment, cette belle danseuse voudrait plus que de petit coup de langue, et c'est ainsi qu'il remonta vers elle, et qu'il l'embrassa tendrement dans le cou de nouveau en pressant son bassin contre le sien. Avec un sourire le brun ce redressa, collant leur deux corps par l'entre-cuisse nue de la jeune femme et celui couvert du jeune homme. Par de légère pression, comme pour lui donner d'avantage envie de plus que ça, il fini par ce remettre sur elle avant de l'embrasser cette fois sur les lèvres, mêlant sa langue à celle de la jeune femme. Comme depuis le début de leur rencontre, il plongea son regard dans celui de la jeune femme avant de caresser l'entrée de son sexe du bout des doigts. Après quelques instant, son majeur ce glissa en elle, et ainsi pendant de longue minutes il la fouilla de l'intérieur avant de ressortir son doigt pour regarder si la belle était assez humide. Il ce lécha les lèvres et glissa les doigts de la jeune femme sur sa braguette

" Puis-je entré en toi ainsi ou nous faut-il des préservatif ? Mais peut-être souhaites-tu toi aussi jouer avec moi... Je te laisse le choix ma belle... "

Après s'être collé à elle, il roula sur le côté pour la faire être au dessus de lui. Dans le but de l'encourager à faire son choix, Dimithrius fit glisser ses doigts sur les mamelons encore dressés de la jeune femme qu'il pinça doucement avec un sourire.

[Désoler, c'est assez court.]

Le majeur du grand brun faisait un va et vient en Mai et elle ne voulait qu’une chose : plus! Cependant, le désir de l’avoir en elle luttait avec le désir de s’amuser à son tour. Il finit par arrêter et elle le vit se licher les lèvres, ce qui l’excita un peu plus encore. Lorsqu’il fit glisser la main de la danseuse sur sa braguette, lui laissant le choix, c’est le désir de s’amuser à son tour qui l’emporta. Elle était rendue sur le dessus et les doigts qui lui avaient déjà donné tant de plaisir montèrent jusqu’à ses seins pour pincer ses mamelons. Mon dieu qu’elle le désirait! Elle sentait la bosse que son membre durcit formait dans son pantalon et elle lui rendit son sourire. Elle se pencha vers la jonction où son cou rencontrait son épaule et elle y déposa ses lèvres avant de le mordre, assez fort pour y laisser une marque, mais pas assez pour lui faire mal. Pendant ce temps, sa main détacha habilement ses pantalons et glissa sa main dans ses caleçons pour entourer doucement son membre de ses doigts. Elle laissa ses lèvres effleurer son cou alors qu’elle remontait à son oreille.

-Bien sur que je veux aussi m’amuser…

Lui chuchota-t-elle à l’oreille. Elle déposa de petits baisers rapides le long de sa mâchoire, descendant dans son cou, puis sur son torse. Elle enleva sa main lentement de ses pantalons et lui enleva ses derniers qu’elle lança un peu plus loin. Regardant son membre durcit, elle sourit, ses doigts s’enroulant de nouveau autour de lui et commençant à le masser. Elle licha le bout une fois, puis recommença plusieurs fois encore avant de le prendre dans sa bouche. Sa main avait arrêté de le masser et restait à la base de son sexe. Elle commença un va et vient plutôt lent, laissant sa langue le licher pendant qu’elle bougeait. Peu à peu elle prit de la vitesse et alla de plus en plus loin. Sa main se remit à le masser, bien qu’elle ne bougea pas de la base de son membre.

[Ça va, je ne suis pas vraiment mieux.]

Avant de vraiment avoir réaliser le pantalon du beau était étaler au sol quelques mètres plus loin suivis de peu par son caleçon. A présent nus comme sa compagne d'un soir, l'écrivain ne s'attendait pas réellement à ce traitement là. Ce redressant sur ses avants bras pour la regarder faire, il ce lesta d'un peu de stabilité en ôtant un de ses bras su sol pour venir lui caresser l'arrière de la tête. Malgré que le moment soit agréable Dimithrius tentait de ce remémorer la dernières fois qu'il avait eut droit à ce genre de traitement, et cela remontait à quelques temps déjà. Finissant par sentir son bras s'engourdir, il ce recoucha et posa ses deux mains sur l'arrière de la tête de Mai, plus pour lui caresser la nuque que pour l'obliger à continuer.

" Si de faire ça te lasse, n'hésite pas à t'arrêter, je t'assure que ce n'est pas grave... "

Il lui souris avant d'avoir une idée. Il prit la main libre de la jeune femme et entrelaça leurs doigts alors qu'il lâcha sa tête pour poser sa main derrière sa tête. De sa main occuper avec celle de Mai, Dimithrius entrepris de lui masser le poignet. Après de longues minutes c'est de son propre chef qu'il lui fit retirer la bouche de sa colonne organique pour s'assurer qu'il ne ce passe d'accident. Il la fit remonter et serra ses bras autour de ses reins pour venir l'embrasser tendrement avec un sourire alors que ses doigts vinrent lui toucher les joues avec délicatesse.

" En plus d'être belle, séduisante et douce, tu sembles en connaître long sur les plaisir charnel... Tu es encore mieux que ce que j'aurais pus imaginer... "

Elle était de retour sur lui et ils s’embrassèrent tendrement. Lorsqu’elle entendit le compliment qu’il lui adressait, elle sourit.

-Il est vrai que j’en connais beaucoup sur le sujet, mais je n’avais jamais rencontré quelqu’un comme toi avant…

Elle l’embrassa doucement, essayant de ralentir ses ardeurs, mais le baiser commença peu à peu à devenir plus passionné. Elle glissa sa langue dans sa bouche et joua avec la sienne. Sentant leur sexe l’un près de l’autre, elle frotta lentement son intimité contre son membre, faisant monter l’envie. Elle écarta leur bouche pour plonger son regard empli de désir dans le sien comme il le faisait si souvent.

-Je suis peut-être tout ce que tu m’as dit, mais je ne suis pas la femme la plus patiente.

Elle déposa un baiser sur ses lèvres avant de chuchoter "s’il te plait, prend moi." N’attendant pas de réponse elle l’embrassa de nouveau de manière endiablé, lui montrant qu’elle n’en pouvait plus d’attendre. Elle se pressa un peu plus contre lui, rajoutant du même fait de la pression contre leur membre. Elle le voulait tellement. L’une de ses mains descendit vers leur entrejambe et positionna son pénis à son entré.

Bien vite, la jeune femme lui demanda d'insinuer en elle autre chose qu'un doigts, et avec lenteur Dimithrius la mit sur le dos alors qu'il l'embrassait dans le cou, tout doucement. Il lui ôta la main, l'embrassa tendrement sur les lèvres et avec délicatesse, son membre s'introduit en elle. Si la pénétration fut lente à un point presque supliciel, ce n'était pas pour masqué la taille de son membre puisqu'elle était très honorable, c'était plus pour voir le corps de sa partenaire ce cambrer sous l'entré de son membre en elle.

" J'attendais ça depuis que je t'ai vus... Tout ton être me donne envie... Je ne sais pas si tu le peux, mais j'ai l'intention de te tenir ici avec moi pendants de longues heure...
Mais tu ne m'as pas dis... Puis-je te prendre sans risque ? Ou dois-je me méfier d'une éventuelle surpris dans quelques mois ? "

Une fois entièrement en elle, le beau brun s'intima de commencer de léger vas et viens dans son sexe, profitant de sa proximité pour l'embrasser. Peu à peu ses mouvements devinrent plus rapide, plus profond fouillant plus profondément son intimité alors qu'un sourire venait étirer ses lèvres en entendant les bruit de plaisir que la jeune femme faisait. Cette fois ci, Il entrelaça leur doigts des deux mains et les lui bloqua contre le sol pour s'assurer qu'elle ne tente pas de masquer les gémissements et autre cri de plaisir.

La pénétration fut lente, tel une douce torture, et plus il s’avançait en elle, plus son dos s’arquait. Il avait l’intention de la garder avec lui pour de longues heures encore… Un sourire étira ses belles lèvres, elle n’en attendait pas moins.

-Ne t’inquiète pas, tu n’auras aucune surprise dans quelques mois. Si ce n’est moi qui viens t’en redemander.

Elle avait murmuré la dernière phrase qui se perdit dans ses gémissements car il avait commencé à bouger, bien que lentement. Il vint l’embrasser et elle accueillit ses lèvres avec plaisir. Il devenait de plus en plus rapide, de plus en plus profond, faisant augmenter d’intensité les sons qui s’échappaient de ses lèvres librement, exprimant le plaisir qu’elle ressentait. Alors qu’elle avait le réflexe de vouloir couvrir ces sons de ses mains, elle sentit ses dernières se faire emprisonner au sol. Ses doigts étaient entrelacés avec ceux de son compagnon de nuit, l’empêchant de faire quoique se soit, autre que de se laisser emporter sur les vagues de plaisir que chaque nouvelle poussé lui envoyait. Elle était incapable d’étouffer se qui étaient maintenant rendus des cris. Cet homme avait le don de lui faire perdre toutes ses capacités, de la noyer dans des sensations délicieuses, pour ensuite lui faire demander encore. Et c’est ce qu’elle souhaitait, même son impuissance face aux mains qui l’empêchaient de bouger l’excitait. C’était la première fois qu’elle était totalement soumise à un homme, bien qu’elle sache pertinemment que si elle disait stop il obtempérerait. Cependant elle ne voulait pas que ça s’arrête, pas tout de suite! Une nouvelle vague de plaisir fit cambrer son être. Elle ne tiendrait plus très longtemps et dit le nom de son partenaire parmi ses nombreux cris.

Mai restait allongée, reprenant son souffle, le regardant paisiblement. Elle sourit lorsqu'il lui dit son intention de la garder avec lui encore un peu et elle se releva, juste assez pour pouvoir déposer un baiser sur ses lèvres.

Personne ne m'attend où que se soit et je n'ai aucun projet pour ce soir alors je suis toute à toi.

Il commença à lui masser les reins, puis monta jusqu'à sa poitrine qu'il massa pendant un long moment. Il lui demanda de se mettre sur le ventre pour qu'il puisse lui masser le dos aussi. Elle arqua un sourcil à sa requête puis haussa les épaules.

Si tu veux, moi je ne vais pas protester.

Si ça pouvait lui faire plaisir, elle n'allait pas refuser, surtout qu'elle gagnait au change. La belle danseuse se mit donc sur le ventre et tassa ses cheveux pour qu'ils ne soient pas dans le chemin. Elle croisa les bras et y déposa sa tête de côté, regardant l'homme du coin de l'oeil avec un sourire.

[Désolé c'est un peu court...]