[Hentai] Un p'tit bobo [PV]

Duncan n'avait pas urgement besoin d'aller à l'infiermerie, mais son bandage au poignet s'était défait. Comme il avait sport l'heure d'après, le jeune homme prit la décision de le changer. Il traversa les couloirs de jusqu'à arriver devant la petite porte rouge.

*Comme le sang...*

Il tapa à la porte avant de voir qu'il y avait un mot signé de l'infiermière. "Je suis en formation, en salle de réunion. Ne me déranger qu'en cas d'urgence". Duncan soupira et s'apprétait à faire demi-tour lorqu'il vit que ladite porte n'était pas close. Tant mieux. Le jeune étudiant entra donc, sûr de lui, et demanda, dans le vide:

"Il y a quelqu'un? "

Pas de réponse. Il s'engagea donc dans la pièce principale et ouvrit le placard à la recherche de bandages. Enfin, il sortit un rouleau et balança son ancien à la poubelle. Rien de grave, à son poignet, juste une petite foulure. Mais s'il ne se soigné pas maintenant, ça pouvait s'aggraver et Duncan ne voulait aucunement être infirme. Après s'être soignesement bandé, il crut entendre un bruit de respiration et se leva. Après un moment d'hésitation, Duncan ouvrit les rideaux qui cachaient la salle des lits, où les élèves allaient se reposer. Personne, evidement..

"Je devient parano !"

Quand il entendit une voix, Duncan se retourna, surpris. Une femme se tenait là, une robe courte et un air un peu malicieux. L'étudiant déglutit en remarquant l'opulente poitrine et les jambes largement découvertes de l'inconnue. Qui était-ce? Après un petit moment de réflexion, Duncan se dit que la mémoire humaine était quand meme dingue, il se souvient d'avoir déjà vu cette jeune femme. C'était une prof. Celle-ci avait la réputation d'être très coquine d'ailleur. Surtout avec les élèves. De plus en plus mal à l'aise, la tête bleu pointa l'armoire du doigt

Heu ... Ici... C'est ici le désinfectant.

Il lui lança finalement un sourire pour masquer sa gène, mais tout ça n'était pas du tout convaincant... Il ouvrit donc les portes de l'armoire et sortit un petit flacon vert et blanc ainsi que des pansements. Il couvrit le tissus de liquide et le tendit à la prof. Pour lui laisser un moment d'intimité, Duncan s'en alla vers la salle des lits et s'asseya sur l'un d'eux. Il n'avait plus rien à faire ici mais il n'osait pas, de peur de paraître impoli envers la professeur. On ne sait jamais quelle réaction elle pourrait avoir ... Il trouvait cette situation plus qu'insolite.

Duncan dévisagea la prof avec un air curieux. Elle le lachait pas. Le probleme c'est que, comme tout homme bi ou hétéro, Dun' fantasmait facilement sur cette jeune femme. Il s'approcha d'elle et lui sourie encore.

Heu... Ca va, moi ce n'était pas grave ...

Non pas qu'il était timide, non, loin de là, mais il n'avait pas du tout envie de ceder a la tentation et de faire des choses qu'il pourrait regretter ensuite. Il se sentait tout confus et voyait des images très ... X passer dans sa tête. Il avait envie de saisir la prof, et l'interdit l'exitait d'autant plus. Il devait s'en aller, et vite.

Bon et bien... Je crois que je vais y aller hein ...

Il fit un petit signe de main à la jeune femme et s'appréta à partir, ouvrant les rideaux avec hâte. Il fallait fuir, et très très vite!

Ré...Rééputation !!? Mais non... Qu-quelle reputation >///<

Duncan n'avouerait jamais à la prof ce qu'il pensait d'elle. Par contre, là, il avait d'autres chats a fouetter.
1) La prof avait fermé la porte
2) Elle était de plus en plus attirante.

Dun' ne fit pas la remarque, absorbé par sa poitrine. Il la voulait et ça commençait à s'en faire ressentir physiquement. Pourtant, il ne fit pas un mouvement vers elle, trop peur des conséquences qui suivraient l'acte. Hors de question de se faire virer du bahut maintenant ! Il voulait dire quelque chose mais la réponse ne voulait sortir. Il respirait lentement, se sentant chauffer. Il devait sortir & vite... Sinon il allait craquer et faire toutes les choses qu'il regretterait.

S'il vous plait, puis-je sortir... ?

Duncan marcha vers la sortie. Il allait enfin sortir de ce sale coup...

Au revoir, mademoiselle.

Il s'en alla et attendit quelques secondes, avant de faire volte face et de re-rentrer dans l'infiermerie pour embrasser la prof fougueusement. La saisissant par la taille, il referma la porte de l'infiermerie. Ca y est, il s'était lancé. Il l'avait fait. Il esperait que les problemes ne commenceraient pas à partir de là. Il plaqua la jeune femme contre le mur et posa ses lèvres contre son cou.

vous m'avez fait craquer... Maintenant, je suis votre esclave...

Il ne comprenait même pas lui même ce qu'il disait mais ne se laissait pas démonter pour autant. Il commençait à tripoter les fesses de la prof avec envie. Il esperait surtout que les avances en étaient vraiment... Il l'esperait plus que tout. Il avait peur qu'il ait mal interpreté les réactions de la jeune femme.

Il se sentait frissonant et tendu car notre jeune homme était encore puceau. Jamais, non, jamais, il n'avait touché une femme. Mais par honte devant cette femme d'expérience, il n'en dit rien, priant intérieurement pour qu'elle ne s'en rende pas compte elle même. De toute façon, trop tard pour y penser. L'exitation qu'ils puissent être découvert était là, il respirait fort en tenant les hanches du professeur qui commençait à déboutonner sa chemise.

<< Alors si je vous ai fais fondre, faites moi tout voir. >>

Sur ce, il la prit dans ses bras et l'emmena dans la salle des lits en prenant soin de fermer le rideau derrière eux. Il y avait bien ce mot, à l'entrée, pour dissuader les fouineurs, mais on ne sait jamais. Il se tourna vers la jeune femme et enleva sa chemise d'uniforme, déjà bien commencée. Il s'asseya près d'elle et la saisit par la nuque pour l'embrasser une nouvelle fois fougueusement, caressant sa langue avec la sienne. Il se rendait compte que l'exitation le rendait plus adroit et en fut soulagé. La main de Duncan descendit sur la jambes de la belle femme et il dit, après avoir rompu le baiser:

<< Vous êtes Mlle Inori... Sakuna Inori? >>

Un petit sursautement discret, à peine visible, anima le jeune homme lorsque Mlle Inori lui toucha la virilité. Alors c'était elle... C'était bel et bien la prof à qui il pensait depuis le début. Il fit un signe de tête pour lui dire que ce n'était rien et s'allongea sur l'un des lits, les jambes écartés, caressant les hanches de la jeune femme sans aller plus loin pour se laisser désirer. Maintenant, il ne réfléchissait plus. Du moins, pas avec son cerveau.

<< Vous êtes vraiment appétissante, mademoiselle. >>

Sur ces paroles, il parcoura son corps de ses mains jusqu'à arriver à sa poitrine qu'il caressa pour la première fois avec une grande envie. Il entra ses mains par son décolté et saisit ses seins en pleine main. Il voulait la voir gémir de plaisir entre ses mains. Il voulait la prendre. Son sexe commençait à prendre de plus en plus de place dans son caleçon. Il gémit un peu et caressa le visage de Sakuna.

Duncan réfléchissait trop, il le savait. Prendre le corps d'une femme était loin d'être comme celui d'un homme. Soudain, le jeune étudiant se sentait bête d'avoir provoqué cette histoire de couchage... Il s'était toujours dit qu'une femme le dépucellerait mais... C'était quand même étrange de faire sans sentiments derrière. Il se sentait comme une bête, une bête assoiffée de sexe. Et Sakuna ôta les boutons de son pantalon, maintenant, il ne réfléchissait plus.

Duncan appréciait bien que la jeune femme soit au dessus de lui. Cela ne tarderait surement pas à changer mais il en profitait bien en attendant le moment venu. Il la laissait faire, la regardant sans trop la toucher. Mais le plaisir devait être partagé, qu'au moins, il garde un bon souvenir de sa première et seule fois avec une femme.

Le jeune homme se prit (encore une hausse de l'activité neuronale) à se dégouter. Mais d'un côté, le professeur ne disait pas non. Sa conscience fut apaisée et il ouvrit ce qu'il restait de fermé dans son pantalon et descendit son boxer.

Il fut un peu gêné de présenter son érection, comme ça, devant une femme, mais tant pis. Si le pantalon la dérangeait, elle n'aurait qu'à l'enlever entièrement. Il leva la robe de sa maîtresse d'une fois jusqu'à ses hanches.

<< Vous êtes belle... >>

N'était pas ce qu'il fallait dire dans une telle situation? Duncan songea qu'il avait du faire son effet. Sur ce, il commença à carresser l'intimité de la jeune femme à travers ses sous vêtements pour toujours plus se faire désirer. Il esperait que c'était ainsi qu'il fallait s'y prendre. Il n'y connaissait rien et laissait son instinct le guider dans cette quête, peu noble, certe, mais quasi-existencielle pour Duncan.