Sans le sommeil, on admire les étoiles... [PV : Saï, Noeru, Sakuna] [hentaï]

Sakuna apparut un peu plus loin. L'homme qu'elle avait déjà rencontré... Saï... Oui c'était ça. Et une jeune femme, plutôt mignonne. Elle se cacha non loin et observa ce qui allait se passer. Cela ne manquerait pas, sans aucun doute, d'être intéressant et très instructif. La jeune fille de toute évidence était une étudiante, et elle savait déjà que Saï était un professeur de mathématiques. Elle sourit. Dieu seul savait ce qu'il pouvait se passer entre un prof et une élève à la tombée de la nuit. Et elle allait y assister. Son sourire s'étira et elle se pencha pour mieux regarder.

Sakuna observait toujours la scène avec amusement. Elle était marante, cette jeune fille avec ses sucettes et sa maladresse. Et ce Saï... Elle le trouvait de plus en plus charmant et attentionné. C'était drôle de le voir comme ça. Elle sourit. Bien entendu, elle devait se faire remarquer. Elle sortit son paquet de cigarette et cela lui donna une idée. Elle fit glisser son briquet hors de sa poche et le fit délibérément tomber. Son sourire s'élargit. LE briquet étant en métal, cela dut faire assez de bruit pour attirer leur attention. Du moins elle l'espérait. Elle le ramassa avec des gestes lent et calculer et alluma sa cigarette avant d'en tirer une longue bouffée.

Sakuna regarda les deux jeune gens, s'attardant sur la jeune femme. Elle était séduisante, même très séduisante, jolie, aux formes voluptueuses. Elle appréciait notamment sa tenue, légère, provocante, telle qu'elle les aimait aussi. Puis, elle se tourna vers Saï et sourit.


Puis, elle regarda la jeune femme, d'abord surprise par son insinuation, puis elle explosa joyeusement de rire. Elle la prenait pour la petite ami du professeur de mathématiques, c'était hallucinant, mais cela la faisait rire. Elle s'approcha d'elle, doucement, le regard amusé et riant.


Elle lui adresse un clin d'oeil complice. Elle se doutait bien que le jeune homme n'attendait personne. Mais cela la faisait rire intérieurement de le taquiner ainsi. Elle espérait que la jeune femme la suivrait dans son délire, mais elle avait l'air assez comique pour cela. Elle posa doucement la main sur l'épaule et lui sourit de nouveau.

Au fait, comment tu t'appelles ?

Elle regarda Saï avec un petit sourire en coin, espérant qu'il ne prendrait pas mal sa petite taquinerie.

Sakuna observa la jeune femme avec un petit sourire en coin. Et charmeuse en plus, intéressant. Puis, elle sourit franchement quand elle enleva sa sucette de sa bouche. Décidément, elle avait l'air pleine de surprises aussi plaisantes les unes que les autres.

Elle sourit à sa phrase. Une « promenade » à trois... ou plutôt une discussion. Cela promettait d'être follement enrichissant comme soirée. Elle en sourit d'avance


Elle s'approcha d'elle, encore une fois, et la prit par la taille, d'une main, et réduisit la distance en son visage et le sien. Ses yeux pétillaient. Elle caressa la joue de la jeune fille de l'autre main et sourit. Puis elle se tourna doucement vers le professeur de mathématiques. Elle avait décidé de ne pas divulguer leur statut de professeur à la jeune fille, de peur qu'elle ne se braque. Elle espérait qu'il en ferait autant et abandonna le sensei ironique qu'elle voulait introduire dans sa phrase.


Sa main glissa sur la hanche de la jeune fille, doucement et légèrement.

Sakuna sourit en voyant que ses deux partenaires n'attendaient que ça. Elle glissa sa main sur la poitrine de la jeune femme avec douceur, la pétrissant lentement. Puis, elle frissonna au contact des lèvres de Saï sur sa nuque.

Puis, elle déposa un baiser sur les lèvres de celle-ci et les fit descendre, quelques secondes plus tard sur le cou, et sur le décolleté de la jeune demoiselle. Elle défit quelques boutons de son chemisier, dévoilant une poitrine ronde et ferme. Elle y déposa une myriade de baisers puis baissa un des bonnets et prit le sein offert en coupe dans ses mains. Elle l'embrassa à plusieurs puis elle lécha le tétons avec douceur, lentement, afin de la faire frémir.

Ses yeux se levèrent vers Saï, pendant qu'elle s'occupait de la poitrine de la jeune femme. Elle guettait leurs réactions, physiques pour Noeru, et visuelles pour Saï. Elle lui fit un clin d'oeil puis retourna pleinement à sa tache pour satisfaire la jeune femme.

Appréciant la tournure que prenait les évènements, la jeune femme appuya ses caresses linguales sur la poitrine de la jeune femme. D'une main, elle la tenait par la hanche. L'autre passa sous la jupe de la jeune élève, du moins, elle supposait que s'en était une, et caressa la fleur sexuelle de la jeune femme par dessus le tissus qui le recouvrait.

Elle frémit lorsque Saï et Noéru caressèrent simultanément sa poitrine et son sexe. Elle regarda Saï, qui avait quitté son antique tenue. C'était un homme bien battit, dans tous les sens du terme. Voyant que le sexe du jeune homme était occupé par les mains de Noéru, elle s'évertua à déshabiller lentement la jeune femme à son tour entièrement. Nue, elle caressa ses formes voluptueuses et reprit un de ses tétons en bouche tandis qu'une de ses mains caressait son intimité. De l'autre, elle caressa le dos de Saï à coté d'elle afin de lui arracher quelques frissons supplémentaires,frissons que devait déjà provoqué la main de Noéru sur son membre.

Voyant que le jeune fille prenait des initiatives à son égard, elle sourit, le désir embuant de plus en plus ses yeux. Elle embrassa la jeune fille avec une passion modérée. Elle abandonna la fleur intime de la jeune femme sous la langue de Saï et se remit à palper doucement sa poitrine d'une main.

Puis, elle laissa la jeune femme happer sa poitrine et caresser doucement son intimité. Elle frémit sous ses doigts, sa respiration se faisant de plus en en plus saccadée. Voyant que la position de Saï ne permettait plus à la jeune femme de le caresser aussi intimement qu'il le voudrait, elle reprit les choses en mains. De sa main libre, elle prit le membre du jeune professeur et le massa avec sensualité. Elle exerçait des mouvement lents et appuyés, maitrisant ainsi le désir du jeune homme. De l'autre, elle caressait toujours la poitrine de Noéru.

La jeune professeur d'éducation sexuelle appréciait à sa juste valeur le moment qu'elle vivait. Elle profitait de la poitrine ronde et chaude de la jeune femme, autant que celle-ci profitait d'elle. Saï venait de prendre en main l'intimité de la jeune élève, vue qui l'excita d'autant plus.

Puis, elle bascula sous Noéru et, voyant que la jeune femme prenait les choses en main à son niveau, elle ferma les yeux pour mieux en profiter. Ses lèvres caressaient doucement sa peau, lui arrachant des frissons de plaisir. Lorsque celle-ci la pénétra de ses doigts, elle laissa échapper un petit gémissement de désir non contenu. L'extase fut à son comble lorsque les lèvres de la jeune demoiselle effleurèrent son clitoris. Elle poussa un râle de plaisir, sentant la jeune fille lécher doucement sa perle et insérer un second doigt en elle. Elle effectua une lente ondulation, de façon à ne pas gêner la jeune femme dans son oeuvre et à lui procurer plus de plaisir.