Fuuko Irisawa

Fuuko Irisawa

« Ce qu'il y a sur les papiers » Âge : 24 ans Nom :Irisawa Prénom :Fuuko Surnom :Fu-chan ou Fuu Nationalité :Japonaise Métier :Non renseigné Sexe :Feminin Sexualité : Hétérosexuelle



Ce qu'il y a dans sa petite tête




"Aux premiers abords, Fuuko parait effacée, calme et discrète. Ceci est indéniable, elle l'est. Mais ce côté assagie n'est qu'une facette de sa personnalité qu'elle n'emploi lors de son travail. Hors de cela, elle peut se montrer totalement extravertie, dynamique tout en restant dans la discrétion. Pourtant, même si elle porte des couleurs vives et pétillante, elle arrivera à pas feutré derrière vous et arrivera à vous surprendre plus d'une fois. Ceci est le fruit de son éducation spartiate d'héritière de la maison de Thé Irisawa. Mais avec l'âge elle se dissipe et aime passer son temps libre à chanter, à courir et à parcourir les rues de la ville dans ses tenues multicolores et débraillés. Elle peut paraître lunatique et légèrement schizophrène mais cette double vie lui est nécessaire. La pression que sa famille exerce sur elle pour reprendre l'affaire familiale via le mariage, son enfance passait à apprendre de vieux principes... Elle s'est donc émancipée avec le temps et ses fréquentations. Le jour, elle est l'impénétrable Fuuko Irisawa, la gérante du salon de thé, la nuit l'exubérante Fuu-chan, animal et sauvage, à la beauté ravageuse et sexy. Malheureusement, ceci n'est qu'un masque qu'elle dépose sur son visage afin de se sentir mieux. Elle ne sait pas qui elle est réellement, mais a décidé de profiter de la vie au jour le jour. Deux devises gouvernent sa vie, une diurne : Professionnalisme, respect et sourire; l'autre nocturne : Liberté, Infidélité et Charme."



Ce qui apparait sur l'image




"Fuuko est une beauté nipponne comme on ne fait plus. Elle n'est pas née ainsi. Elle a beaucoup travaillé pour acquérir ce port de tête si droit, fier et assuré. Sa grâce est le résultat d'innombrable heure d'entraînement. Bref commençons par le début. Fuuko est une jeune femme de vingt quatre ans, à la chevelure noire qui arbore des reflets bleus quand le soleil vient les caresser des ses rayons. Ses yeux, joliment disposés sur son visage, reflètent sa tranquillité et son calme. Son nez est petit, limite écrasé, est typiquement asiatique. Cela entacherait sa beauté si il n'était pas fin et gracieux. Ses lèvres ont un éclat de bouton de rose emplit de promesse, pulpeuse mais pleine de finesse dans leur tracés. Elle ne sourit pas souvent, mais ses sourires sont si rares qu'ils en deviennent précieux et sublimes. L'ensemble de son visage est harmonieux. Son menton n'est pas trop proéminent, juste assez pour lui offrir un visage longiligne et fin. Etant asiatique de pure souche -jamais sa prestigieuse famille ne souillerait son noble sang avec un étranger- elle ne dépasse pas le mètre cinquante six. Mais grâce à cela elle peut conserver son apparence de poupée japonaise dans ses kimonos de couleurs exotiques et fabuleuses lors des cérémonies. Elle arbore des mains impeccables, défaut -si l'on peut dire- dû à son apprentissage. Elle est une femme, et comme telle, elle réagira de façon excessive si l'un de ses ongles est ébréché. Vous y avez cru, n'est ce pas ? Non, elle sera déçue mais jamais ne fera d'esclandre en publique, et surement pas pour un simple ongle. Donc revenons à l'aspect générale. Elle est donc petite et menue mais à quand même une belle poitrine pour une asiatique. Et son teint blanc, voire laiteux, rend jalouse plus d'une de ses clientes. Enfin, si vous la croisez dans la rue, vous la trouverez affublée la plupart du temps dans des tenues à la mode comme une petite jupe, un leggings-short passé sur des collants multicolores, avec un petit haut superposé sur un débardeur sobre, une cravate desserrée autour du cou et une casquette coloré, comme habillée d'un superbe kimono hors de prix. "



Son Histoire





"Une fontaine au donc cliquetis et au bruit sourd mais fort du bambou qui s'écrase contre la pierre une fois plein. Une végétation dense cachait la muraille qui cerclait la demeure Irisawa. L'enfant balançait ses pieds dans le vide, ses jambes trop courtes pour toucher le sol, ses gentas tenant par le fil fin et fragile. La Lune était bien ronde ce soir là. Habillée de son kimono d'intérieur, l'enfant chantonnait une comptine apprise ce jour même à l'école.


"Deta deta tsuki ga
marui marui manmarui
bon no you na tsuki ga

Kakureta kumo ni,
kuroi kuroi makkuroi,
sumi no you na kumo ni.

Mata deta tsuki ga,
marui marui manmarui,
bon no you na tsuki ga."

Son chant enfantin et sa voix fluette mourut dans la lointain, comme absorbé par les ténèbres nocturnes. Des cris au loin, ses parents se disputaient encore. Comme chaque soir, sur son avenir. Elle était la troisième enfant, et une fille en plus. L'avenir de ses deux frères étaient déjà tout tracé. L'aîné, Akikazu était désigné comme héritier et à sa sortie de l'université, il prendrait la suite de son père, soit dans cinq années. Daijiro, le cadet, voulait embrasser une carrière de médecin. Chose qui ne pouvait que flatter l'égo mal placé de ses parents. Et elle, petite fille arrivée sur le tard et non désiré, faisait tâche sur le bel arbre généalogique de la prestigieuse famille Irisawa. Depuis des générations, il n'y avait que deux enfants, et quasiment que des hommes. Elle devait être la troisième fille à naitre dans cette famille. L'enfant ne comprenait pas encore tous cela. Elle n'avait que sept ans, mais elle pouvait comprendre certaines choses comme la haine que ses parents et frère pouvaient lui porter.

Les années passèrent, toujours rythmées par des leçons difficiles et lourdes, Fuuko devint une belle adolescente, fierté de la famille, même si cette dernière refusait de l'admettre. Elle allait de cérémonie en cérémonie, afin de démontrer son art, aux côtés de son frère aîné, tout juste sortit de l'université. Alors qu'ils étaient en pleine représentation, un malheur arriva. Leur père venait de mourir. Crise cardiaque... Cela ne toucha pas plus que cela la tendre Fuuko, son père était pour elle qu'un simple géniteur et lui était quasiment inconnu.
Les funérailles se passèrent dans l'indifférence la plus totale pour la jeune fille. Habillée de noire comme les autres, elle regardait ces hypocrites pleurer faussement la mort du Grand Suichi Irisawa.
Quelle bonne blague. Elle aurait voulu rire, mais les apparences étaient importantes, ce fut pour cela qu'elle ne sourit pas, ne pleura pas et recevait les condoléances avec une gratitude feinte.

Son avenir était incertain. Sa mère pleurait constamment, devant trop faible pour travailler et recevoir. Akikazu, l'aîné, parcourait le pays afin d'effectuer ses cérémonies, et Daijiro, le cadet, était en plein examens. Alors Fuuko dû prendre en main la gestion de la maison, des clients et du planning de son frère.

Nous sommes en 2010, Fuuko a 24 ans. Elle est jeune, indépendante et a récemment ouvert son propre salon de thé, "Gin no Akatsuki" (L'aube d'argent). Sa fierté, elle qui n'était destinée à rien. Elle qui était la pièce de trop. Bien entendu, sa mère la harcelait encore avec des propositions de mariage, mais Fuuko ne l'écoutait plus, elle n'était plus sous son joug : elle était libre. Elle avait obtenu gain de cause auprès de sa mère et de ses frères en leur promettant qu'une partie des revenus de son salon irait à la maison Irisawa et qu'elle n'entacherait pas la réputation de la famille.
Chose qu'elle accepta sans condition. Ce que ca famille ne sait pas, ce sont les activités nocturnes de notre chère Fuuko. Dépravée, droguée également, totalement déjantée. Voilà la part d'ombre de cette jeune fille de bonne famille, son secret le mieux gardait... Pour le moment ! "




Derrière l'écran



• Prénom:Aloyse/Ginko
  
• Sexe:Féminin
  
• Votre présence sur 7:7/10. Pour plus d'infos, prière d'attendre la rentrée
• Avez-vous lu le règlement ?: Bien sur ! Même que le code est ... ... Non ?



PS : Si il y a un problème avec le fait que je veuille être gérante d'un salon de thé, qu'on me le dise, je changerai ^^

J'up afin de vous avertir que j'ai terminé ma fiche ! S'il y a des erreurs, dites le moi ^^

Non y'a pas de souci à que tu veuille être gérante de salon de thé, validation!

Merci !!! \o/ *Effectue la danse de la victoire*

Hum en effet, j'aurai du faire attention à cela... Sumimassen ! Je vais lire de ce pas cette description !

EDIT : Et bien, en même temps, des salons de thé, il peut y en avoir plusieurs. Et puis sinon on peut dire également, que (un fois ton rp fini) j'ai repris cet établissement que j'ai retapé à mes goûts...

... Okaay !! Mais vu que Stan ne vient plus trop, je doute que ce RP sera finit, tu peux donc commencer ton "Retapage" Et si Stan revient, nous dirons que c'est un "retour au passé" *sort*