_Fiche d'identité_
| Nom: Prénom:Akeno Surnom:trasHeart Âge:24 ans Sexe:Homme Sexualité:Bi Métier: |
Chasseur de prime en fuite
Physique:Akeno est un grand garçon bien bâtie, résultat de longues heures de traque sur des terrains aussi divers que les grandes avenues droites et désertes, les terrains vagues et les ruines. Il porte ses cheveux long brun le plus souvent attaché en catogan. véritable coureur tout-terrain, il se déplace avec souplesse, ses mouvements sont déliés, fluides... Il porte un tatouage tenue secret entre les omoplates qui l'oblige à toujours porter quelque soit la chaleur un veston, et un tatouage en collier, qu'il ne cherche lui pas spécialement à cacher. Son corps porte la marque de multiples cicatrices de lames, de balles... Par habitude, il porte des bottes et un solide pantalon passe partout, mais nouvelle vie rimant avec nouvelle image, il délaisse sa veste utilitaire qui ne l'a pratiquement jamais quitté pour des chemises (tellement fines qu'il est persuadé de les craquer à chaque mouvement).
Caractère: Akeno est désabusé, cynique, et passablement dépressif. La cause en une rupture amoureuse aussi douloureuse que tragique qui lui inspira son surnom, TrasHeart, et sa vocation de chasseur de prime et d'esclavagiste de subtitution. Il n'a plus confiance en l'avenir, en l'être humain et n'attends plus rien du monde. Il porte une malédiction depuis ce jour, sous la forme d'un manque de chance irrémédiable. Il connait la différence entre bien et mal, ne cherche pas spécialement à être mauvais mais constate que c'est cette attitude qui est la plus proche de ce qu'est l'homme.
Histoire: Akeno est né libre. Si on peut dire. Gamin élevé à la naissance par des vendeurs itinérants (il n'a jamais connu ses parents naturels, et suppose que c'est mieux ainsi) , il n'a jamais connu de point fixe où vivre.
Les armes, il connait; Il baigne dedans depuis qu'il est en age de les tenir. Elles sont été ses hochets, ses jouets, voir ses oreillers quand il s'endormait dans la charrette de munition durant les trajets de son père. Une des femme qui servait d'escorte protectrice à son père, ainsi que d'amante comme il le compris assez vite, avait eu l'idée de lui faire un petit mobile fait de douilles vides à accrocher au dessus de son lit dans la roulotte. La nuit, les rayons de lunes les faisaient étinceler comme les plus belles des étoiles.
Il tua son premier homme à 15 ans. Avec un antique revolver Nagant qui calait sans cesse, et qu'il s'était promis d'arranger. Il le graissait une dernière fois dans la roulotte, sans trop y croire, quand il entendu un cri suivit de plusieurs coups de feu. Le m16 de tara, l'escorte, et les cris de déments tentant une dernière attaque suicide avant de mourir.
Il fit claquer le chargeur sans réfléchir et sortie en trompe. Trois corps au sol, son père assit se tenant l'épaule, Tara agenouillée et rechargeant, blessée à la cuisse. Sur les pans de mur en ruine qui les entourait comme un piège meurtrier restait en équilibre deux hommes et une jeune femme armés de couteaux, de débris métalliques et de pierre. Armes rudimentaires, dérisoires comparé à l'arsenal qu'ils transportaient eux. Mais des projectiles qui avait blessé les deux personnes à qui il tenait le plus.
Il fit feu, par deux fois, et les deux coups claquèrent contre toute attente. Un des assaillant tomba lourdement de son perchoir, l'autre le rejoignit sous les balles de tara.
Akeno braqua la troisième silhouette quand celle-ci laissa tomber ses armes et se jeta en gémissant sur les deux corps.
À peine une jeune femme. 18, 20 ans... Il venait de tuer son père. Son vrai père. Elle qui avait la chance d'avoir ses parents biologiques avec elle, il venait de le lui arracher, lui le bâtard abandonné, fils de personne.
La jeune fille fut recueillit, malgré les protestations de Tara.
« Il faut la tuer tout de suite...
- Tu es folle ? Elle n'a plus de famille, on lui a tout enlevé !
- Mais ce sont eux qui nous ont attaqués ! Ils savaient ce qu'ils faisaient... et dit toi quelque chose Akeno . Tu pourras faire ce que tu veux, mais tu ne pourra jamais remplacer sa famille. Et une femme n'oublie jamais les responsable de la mort des hommes de sa vie... »
Malgré ses avertissements, La jeune fille, Shayala, resta avec eux. Farouche, muette, n'acceptant les premiers soirs ni la nourriture ni l'eau qu'ils lui proposait. C'est Akeno qui insista un soir. La trouvant évanoui dans son lit, il fit glisser un filet d'eau. Puis la nourrit au lit les jours suivants.
Un mois plus tard, il revint la voir une fois la nuit tombée et la tente de Tara et de son père dressée à l'autre bout du feu de camp. Elle l'attendait. Se glissa derrière lui quand il entra et ferma la porte a clé. Elle était nue, et dans ses yeux et son sourire, l'éclat carnassier qu'il avait vue lorsqu'elle les avait attaqué...
Elle le dépucela cette nuit là. Et elle recommença les nuits suivantes. Encore, et encore, puisant dans la réserve de fougue et de libido qui explosait dans l'adolescent.
Plusieurs mois passèrent. Une année. Deux...
Pour les vingts dans Akeno, Shayala l'allongea sur son lit, sur le ventre, et vint par dessus. Elle lui tatoua son prénom sur le dos avec de l'encre de confection et quelques aiguilles. La douleur, la sueur dans ses draps. Elle murmurait dans une langue incompréhensible. Il sombra dans la fièvre en résultante.
Le lendemain il la découvrit dehors. Ce sourire carnassier qu'il n'avait plus vu qu'entre ses draps sur son visage. A ses pieds, les corps de Tara et de son père.
« Maudit ! MAUDIT ! A JAMAIS MAUDIT, FILS DE CHIEN ! FILS DE PERSONNE !!! »
Elle se tira une balle dans la tempe, avec le même revolver qui avait eu raison de son père.
Akeno passa les trois jours suivant sur place, agenouillé devant les trois corps, hurlant toute sa détresse, sa rage à jamais insatisfaite, son sentiment de trahison, d'abandon. Le quatrième matin, il avait craché du sang à force de cris. Blême, il s'habilla, pris toute les armes qu'il pu porter, défit le reste de munition et aspergea de poudre les trois cadavres avant d'y mettre le feu, et de partir sans se retourner...
Depuis ce jour, il vécut comme traqueur. Se spécialisant dans la traque de jeunes filles, les plus complexes à ramener, car les plus fragiles et protégées. Ses acheteurs, des violeurs, des cannibales parfois...
vengeance envers les femmes, envers les hommes qui leur font confiance, envers le monde qui produit de tels êtres. Il jette sur le lieu de ses enlèvements sa signature, ses Initiales à la peinture rouge. TC. Pour apprendre aux familles qu'ils doivent eux aussi apprendre à vivre maintenant sans leur êtres aimés. A jeter leur cœur aux ordures.
Suite à un évenement tres(mais alors très) déplaisant, et pour le moment secret, alvec les yakuza, Akeno décide de s'enfuir.
_Derrière l'écran_
Prénom:Gabriel
Sexe:Homme
Votre présence sur 7:7
Avez-vous lu le règlement ?: