Oh non, merde, pardon ! [.P.V.] TERMINER !

Quel bel internat ! Mais surtout, quel grand internat ! En tout cas, assez grand pour que Myriam s’y perdit. Après quelques virages, quelques questionnements, elle arriva dans un couloir assez bondé. Elle se rendit au bout avec beaucoup de difficulté mais, une fois arrivée, elle se retrouvait devant un nouveau choix. Une bifurcation en T, on choisit la gauche ou la droite ? Comme le reste des étudiants semblaient prendre la droite, Myriam en fit de même, et les suivis discrètement jusqu’a ce qu’elle arrive à une grande cafétéria. Elle y jeta un œil et, en voyant le nombre d’élève attablés, pâlit. Dans son ancienne école, il n’y avait que.. Quelque chose comme le tiers du nombre d’élève de cet internat. Oh mon dieu ! qu’allait-elle faire ? L’envie de partir à toute jambe la prit, mais son estomac la ramena à la réalité. Se fondant dans un petit groupe qui entrait, la Neko se faufila dan la cafétéria.

Myriam repéra la queue et s’y rendit d’un bon pas et le regard à ses pieds. Elle se mit à la toute fin, même si la file était longue de trois jours - une illusion, sûrement - et se mit à attendre, enserrant son estomac pour qu’il cesse ces bruits qu’on aurait put entendre à des kilomètres à la ronde. Bientôt, les élèves avancèrent, et Myriam se rapprocha un peu plus de son but. Mais, alors qu’elle avançait à nouveau, quelqu’un passant à ses cotés pilla sur son lacet dénoué et - même si cette fois-ci sa maladresse y était que pour très peu - la fit trébucher vers l’avant, exactement sur l’étudiant devant elle. Lâchant un petit cri perçant et fermant les yeux, elle s’accrocha désespérément à cet homme, toute griffe sortie par réflexe félin. Myriam venait accidentellement de faire des accros dans les vêtements de l’inconnu et de se coller à son dos. Totalement rouge, elle voulut prendre ses jambes à son cou alors que la moitié des élèves la regardait.

Je faisait la fille d'attente pour prendre mon diné, lorsque qu'une jeune Neko trébucha et s'accrocha a moi tout en lacèrent mon linge . Mes deux cicatrice Était maintenant visible a tous .Je me senti prix de vertige un moment puis je me ressaisi. Je me retourna pour qui m,était tomber dans les bras. Je vit la jeune fille qui semblais terrorisé . Je lui fit un sourire apaisant pour ensuite lui dire :

- Est se que sa va ?

Je lui tendis ensuite la main pour l'aidé a se relever.Je m'efforça de ne pas penser à mes cicatrice , peut-être que personne ne les remarquera.

Myriam voulait s’excuser poliment comme une jeune fille élevée, mais la terreur la figeait. Tous les regards l’angoissaient, toute l’attention déversée tout d’un coup sur elle lui donnait le tournis. C’était affreux. Elle devait immédiatement sortir de la cafétéria, se réfugier sous sa nouvelle couette et attendre que le temps passe assez pour qu’on l’ait oublié. Seulement, la Neko n’avait plus 4 ans et elle devait fait face à la réalité et aux problèmes. En fait, elle n’avait aucune idée d’où était sa chambre. Elle bégaya, un peu, beaucoup même.. Et finit par soupirer, les larmes aux yeux.. Myriam regarda son lacet dénoué qu’elle injuria silencieusement.

- Je.. Hmm.. Pardon.. Répondit-elle simplement. Les vêtements.. Je vous en rachèterai de nouveaux..

L’étudiant tendit sa main vers elle et la Neko ne put s’empêcher de le regarder avec curiosité. C’était une perche tendu, de l’aide, un ami ? Tous ces mots étaient plutôt inconnus pour Myriam et celle-ci décida de se lever elle-même. Une fois cela fait, elle passa un légé regard circulaire sur l’assemblé, gênée, pour constater qu’ils passaient lentement à autres choses bien plus intéressantes..

Je.. Hmm.. Pardon.. Répondit-elle simplement. Les vêtements.. Je vous en rachèterai de nouveaux..

Je la regarda, elle tremblait de peur . Je m'efforça de lui sourire le plus chaleureusement possible pour essayé de la calmer . Je la prix par l'épaule pour essayé de la réconforter et je lui dit :
Ne t'en fait pas pour mes vêtement j'en est plein chez moi. es toi es que sa va , tu ne t'es pas fait mal j'espère ?

Pauvre petite elle semblait si gêné, elle devait être nouvelle. Je me décida donc a lui faire visité les lieux et a la prendre comme protégé le temps qu'elle s'habitua l'endroit.
Les gens dans la cafétéria avait reprit leur habitude normal et ne se souciait maintenant plus des deux personne qui discutait dans la fil d'attente.

Myriam n’aimait pas spécialement les contacts physiques. En fait, il serait plus juste de dire qu’elle les détestait. Et, vu son état, le sourire chaleureux du professeur n’aida rien, ne faisant que l’angoisser un peu plus. S’imaginant de l’hypocrisie derrière cette mimique qui, pourtant, est une des plus appréciables, la Neko eut un petit frisson d’effroi qu’elle ne put réprimer. C’est ce moment-ci que Kenao entreprit de prendre l’étudiante par l’épaule. Cette dernière baissa le regard et rougit considérablement en ignorant les picotements désagréables que provoquait ce toucher. Elle ne se dégagea pas, par peur d’être haïe. Puis, presque machinalement, elle secoua la tête avec vigueur.

- J’en rachèterai. Je vous jure, je peux le faire !

La nouvelle mit une main sur sa tête et tâta. Une de ses oreilles était alors à la vue de tous et, en paniquant, elle remit le chapeau en place pour cacher sa nature. Maintenant tout le monde avaient vu ses oreilles, tout le monde savait ce qu’elle était. Myriam se mit à jurer intérieurement, avec toute la hargne dont elle était possible puis elle revint à la réalité.

- Je.. Hm.. Je suis Ok.

La Neko fit alors profiles bas alors que la file avançait à nouveau. Elle était si embarrassée !

- Je.. Hmm.. Je suis Ok.
L'important était la elle était correcte, Elle frissonna au contacte de ma peu, je retira lentement mes main pour évité de lui déplaire. J'avais aussi remarquer qu'elle c'était dépêcher de cacher ses oreille, peut-être n'aimait-elle pas sa nature différente ? Voyant qu'elle allait bien et que le mal était passé je me dit « pourquoi ne pas engager une concertation et faire connaissance .» Je commença donc par me présenter :

-Alors avec tous sella on en sait même pas présenter. Je commence , je me nomment Kenao et je suis l'enseignant d'histoire de cette établissement, je présume donc , car je ne te connait pas que tu est nouvelle. Alors d'où viens tu ?

Sur ses mots je fit une petite inclinaison par l'avent en signe de salutation. C'était en tant qu'individu sociable que j'aurais aimer la rencontré et non en tan qu'enseignant mes bon, j'espérais simplement qu'elle ne me perçoive pas comme un tortionnaire ...

Myriam sentit la main du professeur se retirer en même temps que les petits et très déplaisants chocs électriques s’arrêtèrent. Elle ne fut soulagée et retint un soupire de peine et de misère. On devait comprendre, après toute les violences physique et psychologique de son enfance, la Neko préférait, et de loin, la solitude. De ce fait, une immense envie de se retrouver seule l’engloutit et elle s’imagina, comme avant, étendue dans son lit avec un grand cahier noircit de ses écrits et son Ipod. Elle s’imaginait seule dans le local du journal étudiant, bien après la fin des cours, à faire un peu n’importe quoi, juste pour retarder le moment de sortir et d’affronter la réalité.

La réalité ! Elle était bien là, et en ce moment elle était constituée du professeur qui l’abordait. Myriam lui sourit timidement et murmura son prénom sans se soucier de son statut de professeur. De tout façon, elle gardait ses distance et restait évasive avec tous, alors pourquoi changer un tel comportement ?

- Banlieue de Tokyo.. Dit-elle encore sur un ton très faible mais totalement audible.

Myriam n’espérait pas se faire d’amis, et encore moins d’ennemis. Tout ce qu’elle voulait était un grand silence, un cahier, un crayon et la paix. Ce sentiment que rien n’est plus important que soi, qu’on ne vit que pour s’offrir en présence à soi-même.. Bref, Myriam ne cherchait pas à enchainer le discours, bien qu’il ne lui déplaise pas vraiment. La sociabilité du professeur était naturelle et détendue, rien de forcé ou de forçant. Le tout pour la mettre à l’aise - si seulement il était possible qu’elle le soit.

- Banlieue de Tokyo.
Sa voie démontrait clairement qu'elle ne souhaitait pas faire la concertation. Je sortie donc de ma poche , une petite montre a goussait, qui pendait au bout d'une petite chaine argenter. Je l'ouvrit pour regarder qu'elle heure il était, je fit mine d'être surprit et d'être en retard. Je leva mes yeux pour la regarder un dernière foie , je commença à m,éloigner de la file d'attente. je lui dit tout en m,éloigna :

-Il me fut un plaisir de parlé avec vous, j'espère que j'aurais la chance de vous revoir . Une bonne fin de journée .

Puis je disparu dans la foule et sortie de la cafétéria. je me dirigea vers ma classe ou je fit de la correction de la planification, lorsque l'heure du diné tira a sa fin, je retourna me chercher un petit casse croute à la cafétéria puis je retourna a mes occupation quotidienne.

Myriam continuait de fixer ses petits souliers aux lacets défaits en maudissant celui qui avait marcher sur l'un dentre eux. Si ça n'avait été de ça, la Neko aurait passer totalement inaperçue, comme l'était son souhait, et ne serait pas aux prises avec un professeur voulant faire la conversation. Ce n'était pas qu'elle le trouvait désagréable, pas du tout, mais c'était dans sa nature, dans sa personalité - c'était totalement ancré en elle. Et, elle le savait, elle aurait beau lui dire "c'est pas de ta faute, c'est la mienne", jamais on ne la croirait. pour la simple et bonne raison que c'était une phrase clichée. Clichée mais vrai. L'étudiante était ainsi, elle ne pouvait supporter les contacts sociaux, se sentait mal dans un grand groupe, préférait - et de loin - les soirées dans sa chambre à celles ailleurs. Elle n pouvait se débarrasser de ce trait de personalité, elle le savait et s'y accomodait.

Cependant, elle devait avouer que le professeur ne lui déplaisait pas. Il était très gentils et sympathique, et ce même si elle sentait une certaine obligation de répondre à ses comentaires - chose qu'elle appréciait beaucoup moins. Et, lorsqu'il s'agita, Myriam leva un timide regard et lui sourit dans un effort de sociabilté. Elle poussa mencore plus loin ses capacités amicales.

- Merci, bonne fin de journée à vous aussi. J'imagine qu'on se reverra en classe..

Myriam avait fait de gros efforts et, lorsque le professeur partit, elle se sentit enfin respirer mieu. Elle prit sa place dans la file qui continuait d'avancer et, une fois son repas dans ses main, elle s'empressa de l'emmener avec elle dans une autre longue aventure vers sa chambre. Cependant, la Neko avait oublier ses lacets toujours détachée. Quelle tête en l'air !

[Je sais, ça a été long, padon ! ^^']

[RP terminer ]